L’Épouse, L’Amant, L’Époux !

L’épouse, l’amant, l’époux



Elle tenait son mari par le bras comme la fiancée une dernière fois celui de son père au mariage. Une nouvelle joie enfla dans sa poitrine quand l’amant, d’allure sportive, se rapprocha d’eux.


Elle l’accueillit d’un large sourire, abandonna l’avant-bras marital pour celui de l’amant.


« Je suis heureuse que tu sois venu !

Dans son dos, son époux s’assombrit.

- Moi aussi ! Je bande déjà ! »


Reins contre mains dans la rue sous le regard impuissant de l’époux ils avançaient alors que les insolents doigts de l’amant massaient le postérieur de l’épouse.


Même de dos, pensait l’époux, elle est très désirable, avec ses interminables jambes et ses talons, sa chevelure qui lui arrive à la racine des épaules nues.


« …Ça fait trop longtemps que je n’ai plus le droit de toucher ma femme !… »


Ordinaire, la chambre d’hôtel, un lit pour deux.


« Mon amant va me baiser. T’as seulement le droit d’observer ! » annonça la femme.


À genou, l’époux baissa la tête mais resta silencieux. Alors, elle parla avec plus d’intensité :

« Tu as bien compris ?!

- Oui maitresse !

- Déshabille-toi puis déshabille-moi ! »


« …Je t’aime tellement ma déesse que j’aime te voir prendre par d’autres mieux montés que moi même si cela me fait souffrir et jouir !… » sa main dévoila le torse nu de sa femme « …tu es tellement belle ainsi… » lentement, la petite culotte rose, le longs des interminables jambes, glissa « …j’aimerais avoir le droit d’humer les profondeurs de tes culottes… » jusqu’aux escarpins noirs.


« Déshabille mon amant ! »


Il dévêtu son rival avec moins d’enthousiasme qu’il ne l’avait fait avec son épouse et rapidement se retrouva nez à nez face à un long et large membre excité.

« … Ma petite bite est tellement pathétique face à la sienne… »


« Bon travail cocu ! maintenant rejoins ton coin et observe nous copuler ! »


L’amant en érection toucha le sein de l’épouse qui lui rendit la pareille en soupesant, tâtant, caressant, son viril sexe. Sur le lit, elle s’allongea, sur le dos. L’amant sur les genoux introduisit son mâle dans la femelle bouche qui se mit à téter.


« Rend, ordonna-t-elle quand elle reprit sa respiration, à celui qui se tortillait de frustration en les observant, ta bouche utile !

- Oui maitresse ! »


L’époux précipitait sa bouche assoiffée vers la fente charnelle quand un plat du pied le stoppa net….


« Lèche moi plutôt, ordonna l’épouse en serrant le braquemart de l’amant dans une main, les orteils ! »


Gonflé de désir dans sa petite cage de chasteté son pénis souffrit plus intensément ; cela faisait trois mois que son épouse ne lui avait plus permit d’éjaculer. Après avoir débarrassé de la chaussure en cuir le joli pied de sa femme, il le baisa puis suça les orteils à l’odeur moite ; le second pied de son épouse subit le même traitement pendant qu’elle fellationnait le sexe rival.


« Mon amant bande très dur. Cocu tu peux retourner dans ton coin et observer comment baise un vrai homme ! »


Après avoir soupeser les testicules mâles plus lourds que ceux de son conjoint, les doigts manucurés à la passion guidèrent la longue verge vers la brulante intériorité.


Impuissamment son mari la regardait baiser sans préservatif ; sur le dos couchée, l’épouse avait écarté les cuisses, au creux desquelles l’amant s’enfonçait puis ressortait, infatigable ; à chaque nouveau voyage du viril sexe l’épouse grimpait un peu plus dans les aigues, une blanchâtre mousse de plus en plus importante suintait autour de la jointure des deux sexes, lubrifiait en longueur la totalité du long sexe, humectait l’anus de l’épouse avant de se faire absorber par les draps ; et l’époux observait tout cela à la fois très excité et très écœuré de ne pouvoir ni toucher, ni lécher.



L’épouse retourna son amant et le chevaucha. Ses petits seins tremblaient à chaque atterrissage et à chaque nouveau décollage. Elle sentait le pénis de l’amant totalement dilaté et brulant au fond de ses chairs humides que son époux ne pouvait combler. Les deux mains appuyées contre ce torse athlétique, les yeux fermés et la voix vibrante, elle plongeait en plénitude. Et lorsque son amant rependit ses eaux dans son vagin, elle ne put s’empêcher d’accompagner son grave râle de plusieurs baiser. Ils s’immobilisèrent l’un sur l’autre, comme pour l’éternité, à déguster en communion, tous les deux, les dernières vagues de leur extase.


« C’était merveilleux ! Merci ! »


Elle caressa les abdos de son amant allongé sur le dos à coté d’elle puis introduisit sa langue dans sa bouche.


Jusque sur les draps le sperme avait coulé ; y’a en avait sur les fesses, les cuisses, plein dans le fond du vagin de l’épouse, des spermatozoïdes survivalistes ! déterminés à pénétrer eux aussi à leur tour l’ovule providentiel, pendant que la semence qui s’était déversée à l’extérieur se liquéfiait et embaumait toute la chambre de son odeur si particulier.


« …M’autorisera-t-elle moi aussi à éjaculer au moins sur ses orteils ? Mes couilles n’en peuvent plus ! J’aimerais tellement enfoncer ma bite dans sa chatte inondée du sperme de son viril amant… »


Mais l’épouse avait d’autres projets pour l’époux.


« Nettoie-moi ! »


La bouche de l’époux trempa le vagin de l’épouse. Sa langue aussitôt s’enfonça dans les profondeurs femelles et s’y chargea des sécrétions rivales mêlées à celles épousitales puis les firent dégouliner dans la gorge du cocu ; comme pour parfaire la besogne, avec poigne, l’épouse saisit l’époux par la chevelure de la nuque, enfonça ses doigts aux ongles rouges dans son vagin et les nettoya dans la bouche de l’époux.


« Bon travail ! Ma chatte est toute propre ! Maintenant tu va nettoyer la bite de mon amant de son sperme et de ma mouille ! »


L’époux hésita un peu, surpris, pas habitué à ça, et surtout que cela n’avait pas été consenti.
Mais déjà, son épouse avait fait enfourché sa bouche de salope dans la bite rivale qui retrouvait peu à peu longueurs et largeurs. On se trouvait qu’à l’introduction de l’épouse, l’amant, l’époux !

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!